Soyez (lu)mignons ...
Lumignon : nom masculin, contraction de " lumineux " et " mignon ".
Autre sens : objet servant à faire du bien à son prochain.
Le rituel est unique au monde. Les façades d'une ville éclairées à la bougie, qui dansent aux fenêtres et enpoétisent les rues, ça a de la gueule. Le 8 décembre, Lyon a la flamme. Mais la tradition gone se perd un peu. Il faudrait pourtant qu'elle redouble de lueurs dans la nuit: cette année, en plus d'assurer le spectacle, adopter des lumignons c'est aider le centre Léon Bérard à choper un appareil révolutionnaire. Une espèce de super analyseur qui permet de comprendre comment les cellules communiquent entre elles et réagissent spécifiquement aux traitements. Deux petits euros pour soi, un grand pas pour la santé.
Les Lumignons du Cœur
En vente à partir du 2 déc., place Bellecour à l'office du tourisme, sur les places St-Jean, République, Pradel. Au au parc de la Tête d'Or du 7 au 10 déc. 2€ le lumignon. Aussi achat de lumignons virtuels. Pour être volontaires, c'est ici
crédit photos: Fabrice Dimier (à gauche) & @Ninoversalphotography
Autre sens : objet servant à faire du bien à son prochain.
Le rituel est unique au monde. Les façades d'une ville éclairées à la bougie, qui dansent aux fenêtres et enpoétisent les rues, ça a de la gueule. Le 8 décembre, Lyon a la flamme. Mais la tradition gone se perd un peu. Il faudrait pourtant qu'elle redouble de lueurs dans la nuit: cette année, en plus d'assurer le spectacle, adopter des lumignons c'est aider le centre Léon Bérard à choper un appareil révolutionnaire. Une espèce de super analyseur qui permet de comprendre comment les cellules communiquent entre elles et réagissent spécifiquement aux traitements. Deux petits euros pour soi, un grand pas pour la santé.
Les Lumignons du Cœur
En vente à partir du 2 déc., place Bellecour à l'office du tourisme, sur les places St-Jean, République, Pradel. Au au parc de la Tête d'Or du 7 au 10 déc. 2€ le lumignon. Aussi achat de lumignons virtuels. Pour être volontaires, c'est ici
crédit photos: Fabrice Dimier (à gauche) & @Ninoversalphotography