Grandeur et décadence du tote bag
Grâce à Marina Rollman, on a enfin compris le malaise qui nous envahissait devant nos tote bag. Déjà le terme est agaçant, mais ce n'est pas le principal problème. Le vrai hic avec les sacs en tissu : leur accumulation fatale. Et donc le fait de devoir en jeter, ce qui est par essence contre nature. D'où ces quelques suggestions pour gérer l'excès (et on ne parle pas du rosé de cet été)
Ne pas les accumuler, implacable
Comment ? En dégainant le sien façon ninja avant tout achat en caisse de type vêtements, chaussures, produits de beauté, fournisseurs les plus identifiés de tote bag. Bien sûr, ça part d'une bonne intention mais l'idée est de couper l'herbe sous le pied au moindre nouveau venu.
On en achète un
Oui, on sait, ça ne paraît pas logique. Mais investir dans un exemplaire qu'on kiffe permet de l'avoir tout le temps avec soi et de pouvoir appliquer ce qui précède. Ceux de L'Atelier coton dans le 7e, par exemple, sont le fruit de collab avec des artistes.
On détourne
En étuis à rangements suspendus, en sacs à légumes et à vrac, chiffon, emballage à cadeaux (juste en France, les papiers cadeaux c'est quasi 400 000 arbres coupés par an). En laisser dans sa valise pour y ranger le linge à laver... Normalement, la montagne de tote bag a commencé à fondre.
On fait des dons orientés
En diffusant son excédent de tote bag là où le besoin est le plus criant. A ceux, anonymes ou proches, qu'on voit encore traîner avec du plastique, notamment. Il s'agit de placer et non de se débarrasser dudit objet à la première boîte à partage rencontrée.
On est malin
On a toujours un double sur soi pour dépanner quelqu'un qui aurait oublié le sien, aux abois en pleine file d'attente. "Non, je vous assure, ça me fait plaisir..." La pure verité.
Ne pas les accumuler, implacable
Comment ? En dégainant le sien façon ninja avant tout achat en caisse de type vêtements, chaussures, produits de beauté, fournisseurs les plus identifiés de tote bag. Bien sûr, ça part d'une bonne intention mais l'idée est de couper l'herbe sous le pied au moindre nouveau venu.
On en achète un
Oui, on sait, ça ne paraît pas logique. Mais investir dans un exemplaire qu'on kiffe permet de l'avoir tout le temps avec soi et de pouvoir appliquer ce qui précède. Ceux de L'Atelier coton dans le 7e, par exemple, sont le fruit de collab avec des artistes.
On détourne
En étuis à rangements suspendus, en sacs à légumes et à vrac, chiffon, emballage à cadeaux (juste en France, les papiers cadeaux c'est quasi 400 000 arbres coupés par an). En laisser dans sa valise pour y ranger le linge à laver... Normalement, la montagne de tote bag a commencé à fondre.
On fait des dons orientés
En diffusant son excédent de tote bag là où le besoin est le plus criant. A ceux, anonymes ou proches, qu'on voit encore traîner avec du plastique, notamment. Il s'agit de placer et non de se débarrasser dudit objet à la première boîte à partage rencontrée.
On est malin
On a toujours un double sur soi pour dépanner quelqu'un qui aurait oublié le sien, aux abois en pleine file d'attente. "Non, je vous assure, ça me fait plaisir..." La pure verité.